La qualité de vie se mesure et se quantifie par des questionnaires spécifiques parfois appelés échelles qualité de vie. L’impact de l’endométriose sur la qualité de vie est important, avec une dégradation des dimensions sociales, conjugales et professionnelles.
Dès le stade de la dysménorrhée primaire (douleurs pelviennes sans maladie gynécologique encore identifiée) on observe déjà une augmentation de l’absentéisme scolaire des étudiantes, une mauvaise qualité du sommeil et une difficulté à suivre les cours. Pour certaines femmes, ce sera l’incapacité de mener normalement une vie professionnelle, familiale et intime. Pour d’autres, cela peut aller jusqu’à la difficulté d’un effort physique, ou de se tenir debout.
La prise en charge de l’endométriose doit intégrer le maintien d’une qualité de vie compatible avec l’activité professionnelle et la vie sociale.